En fait d'un hôpital, c'est plutot un "gros cabinet de médecin" qui est installé dans ce local crasseux. Médecins de la dernière chance, les toubibs de cette boucherie savent ce qu'ils font (pour la plupart), mais manquent d'argent et de matériel. Et sans argent, ils ne peuvent pas acheter de matériel. Et sans matériel, ils ne peuvent pas dispenser de bons soins bien rétribués...
Engloutis par ce cercle vicieux, les toubibs essayent pourtant tant bien que mal de faire leur boulot correctement, et même les lascars du coin respectent ça.